Romain Lapitchet, charpentier-couvreur au sein des Charpentes Galmiche : « J’ai tout de suite été bien dans les chaussures CLAW PROOF »
Être sur les toits tout au long de l’année exige confort et sécurité. C’est à la limite des Vosges et de la Haute-Saône, que l’entreprise des Charpentes Galmiche, installée sur la commune de Le Thillot, exerce ses activités de charpente, couverture, zinguerie et travaille le bois brut jusqu’à la réalisation des projets de ses clients. Un travail artisanal de qualité qui demande un équipement performant sur les chantiers. C’est la raison pour laquelle l’entreprise collabore avec Coverguard pour le test de nos nouvelles chaussures de sécurité : la gamme CLAW qui rassemble tout le savoir-faire de la marque experte. Rencontre avec Romain Lapitchet qui travaille au sein des Charpentes Galmiche pour un retour d’expérience grandeur nature !
Quel est votre métier ?
Romain Lapitchet : Je suis charpentier-couvreur et je travaille depuis 18 ans dans l’entreprise des Charpentes Galmiche. Je fais en quelques sortes partie des meubles ! Nous sommes une quinzaine d’employés dans la société. Et côté activité, mon métier consiste à réaliser la charpente d’un bâtiment, c’est-à-dire toute la structure qui va maintenir la toiture. Et également la pose des liteaux et de la couverture adaptée. C’est un travail assez exigeant, car cela demande d’être dehors tout au long de l’année, par tous les temps.
Justement, vous testez depuis quelques semaines notre modèle haut « Claw Proof ». Qu’en pensez-vous ?
Romain Lapitchet : D’abord, il faut savoir qu’en hiver, il est indispensable de travailler avec des chaussures montantes pour rester au chaud et bien maintenir la cheville. D’autant que nous travaillons sur des toits pentus à 45°. Par exemple, en décembre dernier, il a fait -4°C sur le toit, donc j’ai mis des bottes fourrées, car aucune chaussure de sécurité ne permet d’avoir suffisamment chaud aux pieds.
Les chaussures CLAW de Coverguard sont très confortables et très souples. Certaines marques référentes proposent des modèles qu’il faut travailler longtemps avant d’être à l’aise. Là, on est tout de suite bien dedans. Côté étanchéité, pas de problème pour le moment, même si nous n’avons pas eu de grosses pluies depuis que je les utilise. J’en suis pour le moment très content.
Par le passé vous avez dû tester plusieurs marques. Quels sont les défauts récurrents des chaussures de sécurité ?
Romain Lapitchet : Certaines marques proposent de bonnes chaussures, mais qui ne tiennent pas sur la durée. J’ai déjà acheté une bonne paire d’une marque concurrente ; elles étaient confortables, mais avec la chaleur des tuiles, par 40°C, elles n’ont pas tenu. Elles auront duré un chantier, c’est tout. Il faut savoir que nous, les couvreurs, nous mettons les chaussures de sécurité à rude épreuve. Il y a les conditions météo, mais aussi le fait que nous soyons en permanence dans des positions impossibles. On est sans cesse plié, on sollicite énormément la chaussure.
« Avec les CLAW Proof, les pieds au sec à un prix raisonnable »
L’étanchéité est-elle souvent un problème ?
Romain Lapitchet : Tout le temps ! Avant celles-ci, j’ai eu une paire d’une autre marque qui était étanche, mais il s’agissait de chaussures qui coûtaient cher, et elles étaient trop grosses pour aller sur les toits. Avec lesCLAW Proof, si on peut garder les pieds au sec pour un prix plus raisonnable, c’est très bien, on n’hésite pas !
Est-ce que l’aspect esthétique est important pour vous ?
Romain Lapitchet : Je n’avais même pas pensé à cette question. Pour moi, ce n’est pas du tout la priorité, je veux juste être bien dedans, mais je comprends que cela puisse compter pour d’autres. Alors oui, je les trouve jolies, et nous n’hésitons pas à aller manger au restaurant le midi avec ces chaussures, par exemple. C’est un bon signe !
Vous en avez parlé autour de vous ?
Romain Lapitchet : Un collègue a testé le modèle de chaussures basses, il en est très content. Nous en avons parlé à un autre de nos collègues, qui va prochainement aller s’en acheter. Le bouche à oreille fonctionne beaucoup entre collègues.
