Adhérence, stabilité, esthétique, durabilité, robustesse : ce sont quelques-unes des nombreuses qualités de notre nouvelle chaussure Outdoor X-Claw. Et ce n’est pas Coverguard qui le dit, mais les professionnels qui l’ont testée ! En effet, pour offrir un équipement adapté aux besoins et aux contraintes du terrain, nos chaussures ont été portées pendant plusieurs mois, dans les conditions du réel, par des employés d’entreprises de secteurs très variés. Une démarche chère à Coverguard, optimisée grâce à son Coverlab, communautés réunissant des experts métiers internes et externes pour mettre au point les EPI capables de révéler au maximum le potentiel de chaque utilisateur grâce à des tests et études approfondis.
Pour la X-Claw, la SARL Thierry Kerguelin Paysagiste, dirigée par un des experts Worldskills France, a notamment participé aux tests. MD Groupe également, spécialistes du BTP, sous la houlette du responsable QSE, Cédric Benon.
Pour ces deux professionnels, nos chaussures sont aussi séduisantes que l’expérience.
Présentez-nous vos entreprises respectives !
Thierry Kerguelin : Je suis paysagiste à Châteaugay près de Clermont-Ferrand, à mon compte depuis une trentaine d’années. Aujourd’hui, ce sont 6 à 7 personnes qui travaillent avec moi pour de la création et de l’entretien de jardins et d’espaces verts. Je suis aussi expert-métier pour les jardiniers-paysagistes sur la compétition internationale des Worldskills 2024. Je les aide à améliorer leurs techniques et à travailler au millimètre !
Cédric Benon : Quant à moi, je suis responsable QSE au sein de MD-Groupe. Nous avons des entreprises qui s’occupent de travaux publics et de voirie mais aussi de génie civil, de réhabilitation, d’extension et de surélévation, de terrassement, de sondage et également de chantiers spéciaux avec des fondations profondes ou de désamiantage. Un panel d’activités assez large avec des métiers très différents et donc des besoins divers en matière d’EPI, que je pilote en interne.
Comment avez-vous fait connaissance avec Coverguard, son équipe et ses produits ?
Thierry Kerguelin : J’ai rencontré les équipes de Coverguard lors du premier regroupement de l’équipe de France sur les Worldskills. Ils m’ont proposé d’intégrer le Coverlab pour la phase de test de la chaussure X-Claw. J’avais justement des problèmes de tendon à ce moment-là, je trouvais ça intéressant de tester une chaussure pour la rendre optimale et qu’elle aide à travailler dans de meilleures conditions. Trois semaines après, je recevais ma paire de chaussures !
Cédric Benon : Quand je suis arrivé à mon poste chez MD-Groupe en 2023, toute l’entreprise était déjà équipée avec les parkas 4-en-1 Coverguard. C’est comme ça que j’ai connu la marque. Et puis, il y a quelques mois, Matthieu Basset, le chef produit chaussures m’a contacté. Il m’a parlé du projet X-Claw et il est plutôt bien tombé parce qu’à cette époque, nous utilisions deux types de chaussures : une paire confortable mais trop peu résistante et une autre beaucoup plus résistante mais très inconfortable. Nous avions donc besoin d’un équipement qui fasse les 2. Il m’a montré le prototype de la X-Claw et j’ai accepté sa proposition de test. On a équipé une trentaine de collaborateurs.
« L’approche est vraiment très bonne avec une réelle écoute de nos besoins et de nos attentes »
Qu’avez-vous pensé de la démarche de Coverguard et de son Coverlab : concevoir ses EPI en collaboration avec des entreprises pour les adapter parfaitement aux attentes du terrain ?
Thierry Kerguelin : Cette démarche, tout comme le partenariat de Coverguard avec les Worldskills, est très pertinente. C’est important que les marques se rapprochent de leurs utilisateurs pour ne pas passer à côté de certaines choses et proposer des produits adaptés à leurs pratiques. En faisant tester leurs produits à un panel de professionnels, ils font remonter toute une série de remarques, d’attentes qu’il est important de prendre en compte.
Cédric Benon : C’est surtout très pertinent de s’adresser, comme Coverguard l’a fait, à des corps de métiers différents. Chaque profession a ses spécificités. L’approche est vraiment très bonne, avec une réelle écoute de nos besoins et de nos attentes. Cela permet que les collaborateurs aient toujours des EPI adaptés à leur mission et leurs conditions de travail. Nos salariés ont d’ailleurs très facilement accepté de se prêter au jeu. C’est ce qu’ils recherchent.
Diriez-vous qu’un EPI adapté permet d’optimiser les tâches réalisées par les personnes qui le portent ?
Thierry Kerguelin : La chaussure de sécurité est sans doute l’EPI le plus impactant sur la qualité du travail réalisé ! Quand vous soufflez dès le matin en l’enfilant, vous commencez mal votre journée. Vous savez que vous n’allez pas travailler de façon sereine. Il y a 30 ans, les employeurs imposaient les chaussures, choisissaient les moins chères et il fallait que ça aille à tout le monde. Aujourd’hui, les choses ont changé. En tant que patron, je sais trop l’inconfort que cela peut représenter. Quand vous n’avez pas cette contrainte, vous êtes libre d’esprit et pouvez vous concentrer sur votre tâche.
Cédric Benon : Tout à fait. Chez nous, avec nos anciennes chaussures qui s’abîmaient rapidement, nos collaborateurs ne se sentaient pas en sécurité. Cela occupait toutes leurs pensées et impactait leur travail, c’est évident. C’est très important d’avoir un équipement confortable, robuste et sécurisant qui permet d’être pleinement à sa tâche.
« Avec les X-Claw, j’ai une sensation d’amorti, j’ai l’impression de marcher sur la lune »
Quelles ont été vos premières impressions en découvrant nos nouvelles X-Claw ?
Thierry Kerguelin : J’ai d’abord été surpris par la semelle légèrement compensée, mon talon était plus haut que d’habitude, et cela était vraiment très agréable. Souvent, on ne lace pas les chaussures de sécurité jusqu’en haut pour ne pas être gêné par la languette. Mais là, je l’ai fait et je n’étais absolument pas gêné. J’avais une bonne amplitude de mouvement, même avec les lacets noués jusqu’en haut. C’est une bonne chose, cela assure aussi une meilleure étanchéité et évite également de se retrouver avec des copeaux de bois dans les chaussures quand on tronçonne. C’était donc une première impression très positive !
Cédric Benon : Chez nous aussi. Concernant l’esthétique, elles ont également fait l’unanimité. Le cuir noir, la semelle bleue : tout le monde a trouvé ça plutôt beau et adapté à toutes les tenues. Les matières apportent un gage de qualité et les couleurs un look qui donne envie. Du coup, en découvrant le modèle, nos collaborateurs se déchaussaient assez rapidement pour l’essayer tout de suite. Dans les premières impressions, c’est le sentiment de légèreté qui est le plus ressorti.
Et ensuite, au fil des jours et des semaines de test, quels ont été les retours ?
Thierry Kerguelin : Pour moi, la question du confort est essentielle. Il me faut des chaussures qui ne soient pas trop lourdes pour pouvoir encore lever les pieds à la fin de la journée. Surtout quand on évolue sur des terrains humides qui collent beaucoup. C’est le cas des X-Claw. Elles apportent une sensation d’amorti, j’ai l’impression de marcher sur la lune, en apesanteur. J’apprécie aussi le fait qu’elles soient montantes et qu’elles me tiennent bien les chevilles. La languette arrière est très agréable. On tire dessus et la chaussure s’enfile sans difficulté, plus besoin de chausse-pied. La semelle est aussi très satisfaisante, elle nous donne une bonne stabilité. Enfin, un détail qui a son importance : la très bonne longueur des lacets et leur résistance. Sur les chaussures de sécurité, ils sont souvent trop courts. Bref, l’adaptation s’est faite très rapidement. Et je n’ai eu aucune ampoule, ce qui peut parfois être le cas avec de nouvelles chaussures.
Cédric Benon : Exactement, quelques opérateurs m’ont même dit qu’ils se sentaient comme dans des pantoufles ! J’ai également eu de très bons retours sur l’amorti de la chaussure, notamment de personnes du génie civil. Les X-Claw sont tellement confortables que personne ne veut les rendre : elles ont été adoptées.
Tant mieux ! D’autant plus qu’elles ont été conçues pour durer…
Thierry Kerguelin : En tout cas, elles résistent très bien à l’humidité, elles sont très étanches et ne se déforment pas ou ne durcissent pas au contact de l’eau. Après trois ou quatre mois d’utilisation, mes X-Claw ne montrent aucun signe de faiblesse.
Cédric Benon : La chaussure nous a tout de suite semblé assez robuste en effet. Elle paraît très qualitative. L’avenir nous le dira…
« Dans notre entreprise, la chaussure X-Claw a été plébiscitée par une large majorité »
Plus de sécurité, plus de confort, moins de charge physique et mentale : peut-on dire que c’est un équipement qui contribue à conserver une bonne santé au travail ?
Thierry Kerguelin : Oui, grâce à la semelle légèrement compensée de la X-Claw, j’ai ressenti un effet sur mon bien-être et ma santé. D’habitude, j’ai tendance à appuyer fort sur les talons quand je marche. Là, j’ai l’impression que je ne sollicite plus mon corps de la même manière, mon centre de gravité est meilleur. Et mon talon d’Achille est moins soumis à tension. C’est super important parce qu’un talon d’Achille, c’est 6 mois d’arrêt !
Cédric Benon : Le fait que la X-Claw soit aussi confortable et offre une bonne adhérence a forcément un impact sur le bien-être. Elle contribue à ne pas se blesser et à se sentir bien sur son lieu de travail.
Après ces tests très concluants, allez- vous intégrer la X-Claw à vos EPI pour vos collaborateurs et jeunes que vous formez ?
Thierry Kerguelin : Dès qu’elle sera en vente, je leur proposerai de travailler avec, c’est certain ! Aujourd’hui, je n’ai plus d’autres chaussures, je les porte tous les jours et les conseille déjà autour de moi. J’en parle aux jeunes qui participent aux Worldskills et je les sens assez réceptifs. C’est bien que certains intègrent le Coverlab. La jeune génération a un regard pertinent sur les EPI.
Cédric Benon : Dans notre entreprise, la chaussure X-Claw a été plébiscitée par une large majorité. Il sera donc facile de la proposer à d’autres collaborateurs. Aujourd’hui, chez MD-Groupe, ce sont 160 personnes qui pourraient en bénéficier. Nous envisageons aussi de mener d’autres tests de ce type avec le Coverlab. La démarche nous a séduits et nous sommes ouverts à toutes les propositions permettant d’améliorer la sécurité de nos opérateurs sur les chantiers, et au-delà.